La manière la plus courante et la plus simple pour charger MILO est de le faire à partir de la console ARC. Cependant il est possible de réaliser cette opération de diverses manières :
La plupart, sinon la totalité, des systèmes à base d'Alpha AXP intègrent le firmware ARC pour Windows NT et cela est la méthode recommandée pour démarrer MILO et de surcroît Linux. Une fois que vous disposez de ce firmware et de la version adéquate de MILO, la méthode est complètement générique.
Le firmware ARC pour Windows NT offre un environnement dans lequel les programmes peuvent demander à celui-ci d'effectuer des opérations. Le programme OSLoader de Windows NT réalise exactement cela. Linload.exe est comparable mais beaucoup plus simple, il fait juste ce qui est nécessaire au chargement et à l'exécution de MILO. Il charge le fichier image adéquat en mémoire à l'adresse 0x00000000 puis il exécute les deux instructions swap-PAL puis PALcall à cette adresse. MILO, comme Linux, utilise un PALcode différent de celui utilisé par Windows NT, cela expliquant pourquoi l'instruction swap est nécessaire. MILO se reloge lui-même à l'adresse 0x200000 puis poursuit la réinitialisation du PALcode à cette nouvelle adresse.
Avant d'ajouter des options de démarrage pour Linux, vous devrez copier linload.exe et MILO à un endroit que la console ARC pourra lire. Dans l'exemple suivant on suppose que le démarrage s'effectue à partir d'une disquette au format DOS.
"Supplementary menu..."
"Supplementary menu"
choisissez "Set up the system..."
"Setup menu"
choisissez "Manage boot selection menu..."
"Boot selections menu"
choisissez "Add a boot selection"
"Floppy Disk 0"
"linload.exe"
dans la rubrique OSLOADERLinux
par exemple !)"Boot selections
menu"
: choisissez "Change a boot selection option"
et sélectionnez
le nom que vous avez choisi ci-dessus dans le but de l'éditer."OSLOADFILENAME"
puis
saisissez le nom de l'image MILO que vous souhaitez utiliser. Par exemple
noname.arc
ou milo
suivi de Entrée."Boot Selections menu"
à
l'aide de la touche Esc"Supplementary menu,
and save changes"
"Boot menu"
et vous pouvez alors essayer de
démarrer MILO.Après avoir réalisé cela, vous devriez avoir un 'boot selection' de la forme :
LOADIDENTIFIER=Linux
SYSTEMPARTITION=multi(0)disk(0)fdisk(0)
OSLOADER=multi(0)disk(0)fdisk(0)\linload.exe
OSLOADPARTITION=multi(0)disk(0)fdisk(0)
OSLOADFILENAME=\noname.arc
OSLOADOPTIONS=
Vous pouvez désormais démarrer MILO (puis Linux). Vous pouvez aussi charger linload.exe et MILO depuis un système de fichiers que Windows NT comprend. Par exemple NTFS ou DOS sur un disque dur.
Le contenu de la variable OSLOADOPTIONS
est passé à MILO
qui l'interprète comme une commande. Donc, pour démarrer Linux
sans attente, il faudra fournir une valeur du type :
boot sda2:vmlinux.gz root=/dev/sda2
Reportez-vous à la section L'interface utilisateur de MILO pour de plus amples renseignements sur les commandes disponibles.
Une autre méthode de démarrage de MILO via la console ARC (bien
que tortueuse) est d'appeler MILO fwupdate.exe
puis de choisir
l'option 'Upgrade Firmware'.
Avec l'apparition des machines de la série XLT, Digital a changé la console ARC pour ses systèmes Windows NT et l'a remplacée par l'AlphaBIOS. Cette nouvelle console offre l'avantage d'une plus grande convivialité. Ce changement d'interface implique un changement de procédure de configuration pour ceux qui souhaitent démarrer Linux pour Alpha dans ce contexte.
La première chose à faire est d'installer la dernière version de l'AlphaBIOS sur votre système. Celle-ci est disponible à l'adresse suivante : http://www.windows.digital.com/support/sysoft.htp.
Téléchargez le fichier ZIP, décompactez-le et installez-le comme suit :
"Upgrade AlphaBIOS"
;Une fois que l'AlphaBIOS est mis à jour, vous pouvez démarrer votre machine comme suit :
"Utilities->OS Selection Setup"
;"Boot Name"
entrez un nom de votre choix (ici Linux) puis
pressez Tab pour changer de champ ;"Boot File
is"
, passez au champ suivant ;"OS Path load file"
;À ce moment l'AlphaBIOS devrait afficher une boîte de dialogue angoissante indiquant : "Warning: Operating System Selection not valid!". Ne tenez pas compte de cette erreur (cela ne pose de problème qu'à NT), pressez Entrée pour valider.
Si la première partition de votre disque dur est un système de fichiers DOS de petite taille destiné au démarrage (ainsi que la procédure d'installation le recommande), lorsque Linux sera installé, vous devrez y copier linload.exe et MILO. Au démarrage suivant, vous devrez configurer votre firmware de telle sorte qu'il aille chercher ces programmes à l'emplacement voulu. Pour ce faire je vous recommande d'utiliser la démarche suivante :
"Utilities->OS Selection setup"
;"Boot File"
(device
pour les
versions en Anglais). Avec les flèches, choisissez la partition sur
laquelle résident linload.exe et MILO. Appuyez sur Entrée pour
valider."OS Options"
puis
spécifiez ici quelle est la ligne de commande à fournir à
MILO, par exemple : "boot sda2:vmlinux.gz". Pressez Entrée pour valider ;Cela fait que l'utilisation de Linux sur une plate-forme utilisant AlphaBIOS devient quasiment identique à celles utilisant la console ARC.
Les cartes d'évaluation (et souvent les cartes conçues à partir de leur exemple) proposent un logiciel appelé "debug monitor". Reportez-vous à la documentation de votre système avant d'envisager cette possibilité. Les systèmes suivants proposent cette fonctionnalité :
Sachez avant toute chose que, sur certaines anciennes versions, ce logiciel
n'inclut pas de gestionnaire écran / clavier. Vous devrez donc vous
préparer à connecter un terminal série à votre
système. Son interface est très simple et une commande d'aide
(help) documente une grande quantité de commandes. Les plus
intéressantes de ces commandes incluent les mots boot
et load
.
Le debug monitor peut charger une image à partir du réseau
(netboot) ou d'une disquette (flboot). Dans tous les cas, l'image doit
être chargée à l'adresse 0x200000 (utilisez la commande
bootadr 200000
).
Si l'image se trouve sur une disquette (notez que le seul format de disquette reconnu est DOS) vous devrez utiliser la commande suivante :
AlphaPC64> flboot <MILO-image-name>
D'après les informations dont je dispose, seul l'AXPpci33 propose la reconnaissance de secteur d'amorçage de type failsafe floppy (Section AXPpci33 (Noname)).
Si vous ne disposez pas d'une image MILO standard précompilée, vous devrez confectionner une disquette au format SRM. Une fois MILO compilé, vous devrez exécuter les instructions suivantes sous Digital Unix :
fddisk -fmt /dev/rfd0a
cat mboot bootm> /dev/rfd0a
disklabel -rw rfd0a lrx231 mboot bootm
Ou bien les commandes suivantes sous Linux :
cat mboot bootm> /dev/fd0
Si vous disposez d'une image MILO précompilée vous pourrez construire la disquette de la manière suivante :
dd if=MILO.dd of=/dev/fd0
Il existe certains systèmes qui permettent d'intégrer MILO directement dans la PROM Flash, permettant ainsi le démarrage direct de Linux (sans avoir à utiliser de console du type ARC) :
La console SRM (abréviation de System Reference
Manual) ne reconnaît aucun système de fichiers ni même
aucune partition disque. Elle s'attend tout simplement à trouver le
logiciel d'amorçage à une position physique démarrant
à un emplacement donné (il s'agit d'un offset ou position
relative). L'information décrivant ce logiciel d'amorçage (sa
taille et sa position relative) est décrite dans le premier bloc de 512
octets du disque. Pour charger MILO depuis la SRM vous devez
générer cette structure de données en bonne et due forme
sur un support que la console peut atteindre. Cela explique l'existence des
fichiers mboot
et bootm
.
Pour charger MILO depuis un périphérique de démarrage,
compilez mboot
et bootm
puis écrivez-les sur disque à
l'aide de la commande suivante :
$ cat mboot bootm> /dev/fd0
ou bien téléchargez une image appropriée de MILO
à partir d'un site Web, puis utilisez soit RAWRITE.EXE
soit
dd
pour l'inscrire sur disque.
Cela fait, vous pouvez envisager de démarrer MILO depuis la console SRM, puis d'utiliser une de ses nombreuses commandes pour démarrer. Par exemple, pour démarrer depuis une disquette, vous devrez effectuer l'opération suivante :
>>>boot dva0
(boot dva0.0.0.0.1 -flags 0)
block 0 of dva0.0.0.0.1 is a valid boot block
reading 621 blocks from dva0.0.0.0.1
bootstrap code read in
base = 112000, image-start = 0, image-bytes 4da00
initializing HWRPB at 2000
initializing page table at 104000
initializing machine state
setting affinity to the primary CPU
jumping to bootstrap code
MILO Stub: V1.1
Unzipping MILO into position
Allocating memory for unzip
####...
Les systèmes suivants sont compatibles avec la console SRM :
La carte Noname est capable de charger MILO depuis une console ARC ou SRM ou depuis une disquette failsafe. Un utilitaire de gestion de la mémoire PROM flash, exécutable depuis MILO permet de copier ce dernier en mémoire flash. En revanche, nous tenons à vous avertir que cette manipulation est très périlleuse car la Noname ne comportant que 256 Ko de mémoire flash, elle ne peut contenir qu'une image en PROM. Si l'image que vous copiez en flash est corrompue, votre système ne démarrera plus.
La méthode de démarrage des cartes Noname est contrôlée par les jumpers J29 et J28. Ils sont disposés comme suit :
Numéro de broche 4
J29 2 x x x 6
1 x x x 5
J28 2 x x x 6
1 x x x 5
3
Les deux options de configuration qui nous intéressent sont sur J28, dont les plots 1-3, qui démarrent la console depuis la flash et J29, dont les plots 1-3 permettent de démarrer la console depuis une disquette. La seconde option est celle dont vous avez besoin pour démarrer MILO la première fois. Une fois que les jumpers auront été configurés pour l'utilisation d'une disquette de démarrage, insérez la disquette contenant MILO en version bootable dans le lecteur puis relancez l'ordinateur. En l'espace de quelques secondes (après l'extinction de la lumière du lecteur), vous devrez constater que l'écran passe du noir au blanc et y lire les informations relatives à l'exécution de MILO. Si les aspects techniques vous intéressent, sachez que la carte Noname charge le contenu de la disquette à l'adresse 0x104000 et les images provenant de la mémoire flash en 0x100000. Pour cette raison, MILO intègre son PALcode à l'adresse 0x200000. Lors de son démarrage, il se reloge lui-même à l'adresse correcte.
L'AlphaPC64 est doté, en standard, du Firmware Windows NT (Section Chargement de MILO depuis la console ARC pour Windows NT), de la console SRM (Section Démarrage de MILO par le biais de la console SRM) et du Debug Monitor (Section Démarrage de MILO depuis le debug monitor des cartes d'évaluation). Ces images sont en flash et il reste de la place dans cette mémoire pour ajouter l'image de MILO de manière à pouvoir démarrer MILO directement depuis la PROM. Un utilitaire de gestion de la mémoire flash est disponible sous MILO, ainsi il est possible d'intégrer MILO à la mémoire flash lorsque celui-ci s'exécute (Section Exécution du gestionnaire de mémoire flash). Ce procédé accepte l'utilisation de variables d'environnement MILO.
Il est possible de choisir parmi les options de démarrage (ARC, SRM, MILO) en utilisant une combinaison de jumpers et de définir des options de démarrage qui seront sauvegardées dans la NVRAM de l'horloge TOY ("CMOS").
Il s'agit du jumper J2 ; les bits 6 et 7 ont la fonction suivante :
Donc, si le SP Bit 7 est ouvert, le Debug Monitor sera
exécuté car il est toujours
positionné en
première place dans la PROM. Et si le SP Bit 7 est fermé, l'image
exécutée sera celle définie dans l'horloge système
(TOY). L'ARC, le Debug Monitor et MILO acceptent cette option ; il faut,
cependant, être très prudent lors de son utilisation. Par exemple,
vous ne pouvez pas définir d'option qui vous permettra de
démarrer MILO au démarrage suivant : lors de l'utilisation de la
console ARC, cette dernière vous permet de passer en mode Debug
Monitor ou ARC lors du démarrage, mais elle ne permet pas de passer
en mode MILO.
Pour inclure MILO dans la mémoire flash via le Debug Monitor, vous aurez besoin d'une image adéquate (dite flashable). La commande de compilation est : make MILO.rom, mais vous pouvez aussi construire une image rom à l'aide de l'outil makerom du Debug Monitor.
> makerom -v -i7 -1200000 MILO -o mini.flash
(tapez makerom pour comprendre ce que signifient les paramètres, '7' représente un identificateur d'image flash utilisé par la SROM et -l200000 indique l'adresse de chargement de cette image).
Pour charger cette image en mémoire, utilisez une des commandes flload, netload, ... à l'adresse 0x200000, puis insérez l'image en mémoire flash de la manière suivante :
AlphaPC64> flash 200000 8
200000 est l'adresse de chargement et 8 est le numéro du segment de mémoire à utiliser. Il y a 16 segments de 64 Ko (soit 512 Ko) dans la SROM. (Le Debug Monitor est au segment 0 et l'ARC au segment 4).
Définissez l'image que la SROM va exécuter au démarrage en donnant une valeur à la variable TOY bootopt :
AlphaPC64> bootopt 131
(131 indique la 3ème image, 129 la 1ère image, 130 la 2ème, etc...)
Éteignez la machine, mettez le jumper 7 en place et redémarrez la machine. Vous devrez alors pouvoir observer MILO s'exécuter. Félicitations ! Vous pouvez remonter la machine (enfin !). Si ce n'est pas le cas, conservez le tournevis pour plus tard, et enlevez à nouveau le jumper 7 pour redémarrer en mode Debug Monitor, reprenez les étapes les unes à la suite des autres, méthodiquement, en prenant garde de ne rien oublier.
La carte EB66+, comme toutes les cartes d'évaluation de Digital, contient le Debug Monitor, et de ce fait celui-ci va nous permettre de charger MILO. Souvent (mais pas toujours), les cartes dérivées des cartes d'évaluation possèdent ce logiciel. Habituellement, ces cartes contiennent la console ARC. Un utilitaire de gestion de la mémoire flash est disponible sous MILO, ainsi il est possible d'intégrer MILO à la mémoire flash lorsque celui-ci s'exécute (Section Exécution du gestionnaire de mémoire flash). Ce système accepte les variables d'environnement MILO.
Ces cartes disposent de plusieurs images en mémoire flash contrôlées par jumper. Les deux bancs de jumpers sont J18 et J16 et se situent au centre bas de la carte (considérant que le processeur Alpha se situe en haut de la carte). Vous pouvez choisir l'option de démarrage par ces jumpers (et MILO lorsqu'il est chargé) ainsi qu'une variable d'environnement sauvegardée dans la mémoire non volatile (NVRAM TOY).
jumper 7-8 Fermé signifie qu'il faut utiliser l'image désignée par la variable bootopt, lorsqu'il est ouvert le Debug Monitor est exécuté.
Pour le reste de la configuration, reportez vous au paragraphe précédent traitant de l'AlphaPC64 (Section AlphaPC64 (Cabriolet)).
Cette carte est très similaire à l'AlphaPC64 excepté qu'elle ne contient pas de mémoire flash utilisable par MILO. Cette carte possède deux ROMS, l'une contenant l'ARC, l'autre contenant le Debug Monitor.
L'Aspen Alpine, quant à elle, ne contient qu'une ROM où est gravée la console ARC.
C'est une station ultra compacte à base d'AXP 21066 qui intègre un sous-système graphique TGA (21030). De plus il n'y a de place que pour une carte graphique PCI demi-hauteur. Elle utilise la console ARC (Windows NT) et il est donc recommandé de l'utiliser pour le démarrage de MILO (Section Chargement de MILO depuis la console ARC pour Windows NT).
La carte EB164, comme toutes les cartes d'évaluation de Digital, contient le Debug Monitor, et de ce fait celui-ci va nous permettre de charger MILO. Souvent (mais pas toujours) les cartes dérivées des cartes d'évaluation possèdent ce logiciel. Habituellement, ces cartes contiennent la console ARC. Un utilitaire de gestion de la mémoire flash est disponible sous MILO, ainsi il est possible d'intégrer MILO à la mémoire flash lorsque celui-ci s'exécute (Section Exécution du gestionnaire de mémoire flash). Ce système accepte les variables d'environnement MILO. La console SRM est, de plus, disponible (Section Démarrage de MILO par le biais de la console SRM).
Ces cartes disposent de plusieurs images en mémoire flash contrôlées par jumper. Le banc de deux jumpers s'appelle J1 et se situe en bas à gauche de la carte (considérant que le processeur Alpha se situe en haut de la carte). Vous pouvez choisir l'option de démarrage par ces jumpers (et MILO lorsqu'il est chargé) ainsi qu'une variable d'environnement sauvegardée dans la mémoire non volatile (NVRAM TOY).
jumper SP-11 de J1 fermé signifie qu'il faut utiliser l'image désignée par la variable bootopt ; lorsqu'il est ouvert le Debug Monitor est exécuté.
Pour le reste de la configuration, reportez-vous au paragraphe précédent traitant de l'AlphaPC64 (Section AlphaPC64 (Cabriolet)).
La carte PC164, comme toutes les cartes d'évaluation de Digital, contient le Debug Monitor, et de ce fait celui-ci va nous permettre de charger MILO. Souvent (mais pas toujours) les cartes dérivées des cartes d'évaluation possèdent ce logiciel. Habituellement, ces cartes contiennent la console ARC. Un utilitaire de gestion de la mémoire flash est disponible sous MILO, ainsi il est possible d'intégrer MILO à la mémoire flash lorsque celui-ci s'exécute (Section Exécution du gestionnaire de mémoire flash). Ce système accepte les variables d'environnement MILO. La console SRM est, de plus, disponible (Section Démarrage de MILO par le biais de la console SRM).
Ces cartes disposent de plusieurs images en mémoire flash contrôlées par jumpers. Le banc principal de jumpers s'appelle J30, il contient les jumpers de configuration. Le jumper CF6 fermé signifie que le système démarrera le Debug Monitor, il est par défaut ouvert.
Pour le reste de la configuration, reportez-vous au paragraphe précédent traitant de l'AlphaPC64(Section AlphaPC64 (Cabriolet)).
Le XL266 est un des systèmes connus sous le nom d'Avanti. Il possède une carte fille sur laquelle résident le processeur Alpha et le cache qui se connecte à la carte mère. Cette carte remplace une carte fille Pentium équivalente.
Certains de ces systèmes sont vendus avec la console SRM, mais certains autres ne sont livrés qu'avec la console ARC (Section Chargement de MILO depuis la console ARC pour Windows NT).
Voici une liste compatible avec cette série :
Note : Le système que j'utilise pour développer et tester MILO est un XL266 ; de ce fait, c'est le seul sur lequel je peux garantir un fonctionnement correct. Cela dit les autres systèmes sont, techniquement, équivalents. Ils possèdent les mêmes chipsets et les mêmes mécanismes d'interruptions.
Il s'agit d'un système à base de processeur 21066 à 233 Mhz.